"Notre peur la plus profonde n'est pas que nous ne soyons pas à la hauteur. Notre peur la plus profonde est que nous sommes puissantes au-delà de toute limite. C'est notre propre lumière et non notre obscuruté qui nous effraie le plus.
Nous nous posons la question: - Qui suis-je, moi, pour être brillant, talenteux et marveilleux?
- En fait, qui êtes vous pour ne pas l'être?"




Vous êtes en enfant de Dieu. Vous restreindre et vivre petit ne rend pas service au monde. L'illumination n'est pas de vous rétrécir pour éviter d'insécuriser les autres. Nous sommes nés pour rendre manifeste la gloire de Dieu qui est en nous. Elle ne se trouve pas seulement chez quelques élus: elle est en chacun de nous, et en fur et mesure que nous laissons briller notre propre lumière, nous donnons inconsciement aux autres la permission de faire le même. En nous libérant de notre peur, notre présence libère automatiquement les autres"




Nelson Mandela 1994








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La vie sublime ce n'est pas compliqué. Il suffit de naviguer en passager curieux de l'existence et pas en matelot borné. Si modeste soit une vie, qu'en lui fasse honneur en l'épousant pleinement, en l'élevant du mieux qu'on peut





Être son propre seigneur, mais celui d'aucune terre.
En ne possédant rien j'ai tout.






Loin de moi l'envie de créer des copies. Je voudrais juste que chacun explore sa propre route, celle que lui convient le plus, en voie vers une libération







David Henry Thoreau
 





La façon dont la plupart des hommes gagnent leur vie, autrement dit, vivent, n'est que moyens de fortune et manière d'esquiver la véritable affaire de l'existence. Parce que pour l'essentiel ils manquent de discernement, mais aussi en partie, parce que leurs objectifs sont médiocres.





Si j'avais qu’à lever le petit doigt pour posséder toutes les richesses du monde je trouverais encore que ce serait trop cher payé.

L'avoir possède l'être



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Chacun de nous construit son propre monde individuel et partage un monde physique avec les autres. Le monde physique est construit à l'aide de nôtre monde privé.
Pour les enfants autistes c'est exactement la même chose, mais le monde physique qu'ils partagent avec nous est diffèrent parce que leur monde privé est également différent.
Chacun de nous est individuel, unique, et en même temps nous avons des similitudes.
Chaque enfant autiste est individuel, unique et a des similitudes avec nous-mêmes. La différence, c'est que nous le voyons comme " Un enfant pas comme les autres".
Nous devons apprendre à voir les défis que ces enfants nous offrent comme une opportunité d'affirmer notre humanité, de donner un sens à notre vie, de nous émerveiller avec la diversité de notre espèce.


  http://lamainaloreille.wordpress.com/







Un papillon peut voler en tout sens
pour s'efforcer d’échapper à son destin,

il n'en restera jamais qu'un battement d'ailes!


Camus, L’Étranger


 

Du moment qu'on meurt, comment et quand, cela n'importe pas, c'est évident. Donc, je dois accepter le rejet de mon pourvoi. À ce moment, à ce moment seulement, j'ai pour ainsi dire le droit, je me donne la permission d'aborder la deuxième hypothèse: Je suis gracié.

L'ennuyeux, c'est qu'il faut rendre moins fougueux cet élan du sang et du corps qui me pique les yeux d'une joie insensée.
Il faut que je m'applique à réduire ce cri, à le raisonner.
Il faut que je soit naturel, même dans cette hypothèse, pour rendre plus plausible ma résignation dans la première. Quand j'ai réussi, j'ai gagné une heure de calme. Cela tout de même, est à considérer.


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Ses vaisseaux cinglaient de toutes les rives du monde vers le port d'Amsterdam, mais Simon pensait au grand voyage qui se termine inévitablement pour nous tous, riches aux pauvres, par le naufrage sur une plage inconnue.





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C'est volontairement que ce vieil homme négligeait les imperfections, les ombres, les défauts visibles pourtant à la surface de l'âme, pour ne retenir des êtres de son choix que ce qu'ils étaient peut-être au plus pur d'eux-mêmes ou ce qu'ils aspiraient à devenir. Sous l'apparence piteuse des prophètes qu'il hébergeait, il reconnaissait des saints. Touché dès la première rencontre par les yeux clairs d'Hilzonde, il ne tenait pas compte du pli presque sournois de sa bouche triste. Cette femme maigre et lasse restait pour lui un grande Ange.



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L'amour a tant de visages que notre imagination n'est pas prêt à les voir tous.
Nous ne voyons que ce que nous savons déjà. Nous projetons nos propres capacités - pour de bon ainsi que pour le mal - sur l'autre personne. Ensuite, nous reconnaissons comme l'amour principalement les choses qui correspondent à notre propre image. Nous tenons à être aimé comme nous nous aimons. Toute autre façon nous rend mal à l'aise. Nous répondons avec le doute et la suspicion. Nous interprétons mal les signes. Nous ne comprenons pas la langue. Nous accusons. Nous affirmons que l'autre personne ne nous aime pas. Mais peut-être qu'il nous aime simplement d'une certaine façon idiosyncrasique que nous ne parvenons pas à reconnaitre.


Détails sur le produit


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Un handicap est un caprice de la nature. Il aurait été stupide de rechercher les causes ou à se rebeller. Elle ne se ira chamailler avec un fait même si ça blesse.


La mélodie du coeur qui bat par Sendker 


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Dans la vie de tous, sans exception, la maladie est inévitable, que nous allons vieillir, et que nous ne pouvons pas échapper à la mort. Ce sont les lois et les conditions de l'existence humaine. Lois qui s'appliquent à tout le monde, partout dans le monde, indépendamment de la façon dont drastiquement le temps peut changer. Il n'y a pas de puissance qui peut libérer une personne de la douleur ou de la tristesse qu'on pourrait sentir à la suite de cette intuition - moins qu'elle ne soit cette même personne.
La vie est pleine d'énigmes où la souffrance et le bonheur sont inextricablement entrelacés.
Toute tentative d'avoir l'un sans l'autre est tout simplement vouée à l'échec.




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André Comte-Sponville


Nous sommes disposées par nature à croire facilement ce que nous espérons et difficilement ce dont nous avons peur.

La nature est pour moi, le tout du réel (le surnaturel n'existe pas) et elle existe indépendamment de l'esprit : qu'elle produit, qui ne la produit pas.
Elle est sans créateur, sans extérieur, sans exception, sans finalité.
Elle est libre parce que rien d'extérieur ne la gouverne (non parce qu'elle se gouverne consciemment elle-même) à la fois incréé et créative, hasardeuse autant que nécessaire.
Toute ordre la suppose, aucune ne la contient ni l'explique

La nébuleuse de l’aigle



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